Mon défi personnel consistait à continuer à mettre en lumière tout en composant des images plus lumineuses.
Changer mes réglages? Faire des compromis? Où me positionner vis-à-vis de la lumière? Avec quels genres de lumières? Réduire les proportions d'ombre? Trouver des contrastes autrement?
Ces petites questions me restent en tête et m'aident à trouver différents schémas, m'aident à aller au-delà de ce que je connais.
Et parce qu'aussi, j'en suis convaincue, les défis sont là pour nous faire avancer, progresser constamment, et ça c'est BIEN!
Ici, la lumière diffuse est présente dans la pièce et la lumière spot/dure qui rebondit sur le sol vient éclairer les sujets de manière contrastée
En extérieur, quand on est à l'ombre du soleil ou sous un ciel gris, la lumière est diffuse. Il est toujours possible de trouver des petites proportions d'ombre, qui enlèveront ce côté plat à l'image
La lumière n'est pas particulièrement forte en fin de journée, les éléments blancs/clairs et le contre-jour viennent palier au manque de luminosité. Les textures se révèlent entre l'ombre et la lumière
En intérieur avec une seule source de lumière dans une pièce blanche, où la lumière rebondit partout, le contraste des attitudes amène du dynamisme et rend l'image plus vivante.
Une pièce avec plusieurs sources de lumière dit généralement un environnement lumineux. La profondeur de l'image en plusieurs plans lui donne du relief, et ici la lumière de côté (grâce à la proximité de la fenêtre) en apporte davantage en contrastant la moitié du corps du sujet principal.
Voici un des exemples dont je parle dans le podcast.
Ici, la lumière vient de partout (il y a 7 baies vitrées autour de ce canapé).
Les couleurs redondantes ont leur rôle, et le mouvement apporte du dynamisme.
La colonne du premier plan apporte aussi de la profondeur à l'image
Il m'arrive aussi de faire des compromis et d'accepter les zones surexposées, en contre-jour souvent, à condition de ne pas surexposer mes sujets